Malgré les bons résultats de sa compagnie principale, celui-ci connaît cependant de grandes difficultés et peine notamment à rembourser ses dettes auprès des chantiers. Si l'Atlantic est rapidement effacé des publicités de la White Star Line, il n'est pas pour autant oublié. La crise économique de 1929 met en effet un point final au projet[139]. En 1947, la Cunard offre 2 £ pour chaque part de 1 £ de la compagnie ne lui appartenant pas. L'arrivée des deux nouveaux paquebots, en 1874 puis 1875, crée un surplus de navires sur l'Atlantique Nord pour la White Star Line. Plusieurs marins parviennent à tendre des cordes jusqu'à des rochers environnants, et à secourir une partie des passagers, mais le bilan du naufrage reste lourd : sur les 952 personnes présentes à bord, 585 périssent. Les activités conjointes de la White Star et de la Shaw, Savill & Albion Line se densifient également avec la mise en service de tous nouveaux paquebots-mixtes aux cales réfrigérées sur la ligne de la Nouvelle-Zélande. Le navire arrive en service assez tôt pour pouvoir participer en août 1889 à la revue navale célébrant le Jubilé de la Reine Victoria et impressionne fortement Guillaume II d'Allemagne, lui donnant envie de doter son propre pays de paquebots pouvant faire office de croiseurs auxiliaires[62]. Ces espoirs se révèlent bien vite déçus. Après avoir fait faillite, la compagnie (en réalité son nom et son emblème) est rachetée en 1867 par Thomas Henry Ismay qui la rebaptise Oceanic Steam Navigation Company. C'est également dans ce contexte que Kylsant lance un nouveau programme de construction dans les chantiers Harland & Wolff avec pour objectif la construction d'un paquebot de plus de 300 mètres et d'une vitesse approchant des 30 nœuds, navire rapidement présenté à la presse sous le nom d'Oceanic[138]. Cette institution devient progressivement très puissante[86]. Le coup est très dur pour la White Star Line, qui se retrouve de plus accusée de ne pas avoir fourni assez de charbon au navire, tandis que le capitaine est sanctionné pour avoir agi de façon irresponsable. En effet, la présence de ces compagnies britanniques et de leurs navires prive le trust de subventions américaines. Suite au naufrage du Titanic, les travaux sur le troisième paquebot, le Britannic ( ex-Gigantic ) sont stoppés en attendant le rapport d'enquête sur les raison de la catastrophe pour pouvoir adapter les modifications techniques. Il est le fils du potier Edward Smith et de l'épicière Catherine Smith. Avec une contribution personnelle d'Ismay, l'entreprise finance ainsi l'entretien des tombes des victimes et, en 1915, elle contribue à la construction d'un monument dédié aux victimes[36]. Ne voulant pas commettre les même erreurs que par le passé, Ismay décide donc de se concentrer en premier les efforts sur la ligne entre l'Europe et les Etats-Unis. Cela pose un problème de taille à la compagnie, les navires n'ayant ni les mêmes vitesse, ni les mêmes capacités : la régularité du service transatlantique en est fortement pénalisée[167]. En effet, auparavant, les navires ne comprenaient que deux classes : la classe « cabine » (équivalent de la première classe) et l'« entrepont » (équivalent de la troisième classe). Elle dépasse la Cunard de 3 000 passagers, mais ne parvient cependant pas au niveau de ses concurrentes allemandes[84]. © Titanicwhitestar. Le 27 août 1870 est lancé le premier navire de la compagnie, l'Oceanic, et les premières publicités suivent bientôt[25]. La compagnie naissante ne se centre pas que sur l'Atlantique Nord. La White Star paye également un fort tribut au cours de la Première Guerre mondiale, en perdant plusieurs cargos assez anciens, mais surtout des paquebots plus récents et performants comme l'Oceanic, le Laurentic et surtout le Britannic qui coule quatre ans après son jumeau, sans avoir effectué une seule traversée commerciale[185]. Cette carrière a néanmoins été marquée par plusieurs collisions avec d'autres navires. L'Amirauté britannique le réquisitionne le 13 Novembre 1915 pour le transport de soldats bléssés, et lui attribut le préfixe HMHS ( pour Her Majesty Hospital Ship ) au lieu du classique RMS ( pour Royal Mail Ship ). En 2000, elle développe un cancer de l'utérus qu'elle parvient à combattre grâce à un diagnostic précoce. La responsabilité de la compagnie n'est pas engagée, de même que celle des constructeurs : des tests sur son jumeau, le Bovic, permettent en effet d'assurer qu'il n'avait pas de défaut de conception[181]. Lorsqu'il est mis en service en 1911, l'Olympic apporte entière satisfaction à la compagnie et rencontre immédiatement le succès[95]. (in French) Histoire de la White Star Line, le Site du Titanic. Le paquebot est affecté, officiellement en service conjoint entre la White Star et la Dominion Line, au service du Canada[126]. Cette flotte dite " Classe Oceanic ", se compose de quatre navires ( photos ci-dessous ) : l'Oceanic, l'Atlantic, le Baltic et le Republic d'une taille d'un peu plus de 128 mètres chacun. Or la restauration de ce dernier n'étant pas terminée, il faudra attendre fin 2013 voire début 2014 pour pouvoir monter à bord et revivre ( en partie ) ce que ressentaient ses passagers avant d'embarquer sur le Titanic ( une fois ) ou l'Olympic et le Queen Mary dans les années suivantes. En vertu de cet accord, tous les directeurs de la compagnie doivent être approuvés par le Board of Trade, créant une situation particulièrement complexe[116]. Jusqu'a présent deux classes existaient à bord : la classe " cabine " ( en fait la Première classe ) et " l'entrepont " ( en fait la Troisième classe ). Parmi les autres pertes se trouvent le Laurentic, qui emporte avec lui une cargaison de lingots d'or[111], mais aussi le cargo Georgic, sabordé alors qu'il transportait des chevaux et marchandises à destination de la France, ainsi que l'Afric, le Persic, le Vaderland (devenu Southland), ainsi que le Delphic[112]. Après la mort de Thomas Ismay en 1899, la société est reprise par son fils, Bruce, qui l'intègre en 1902 dans l'International Mercantile Marine Company du financier américain John Pierpont Morgan. La mauvaise gestion de Kylsant fragilise cependant l'entreprise, qui est frappée de plein fouet par la Grande Dépression. C'est ainsi qu'en novembre 1926, Kylsant annonce avoir racheté l'intégralité des parts de l'Oceanic Steam Navigation Company pour 7 907 661 livres. Elle se spécialise alors dans le transport de passagers à bord de paquebots de luxe qu'elle fait construire comme ceux de la classe Oceanic, et s'impose peu à peu au cours du XIXe siècle, notamment lorsque plusieurs de ses navires remportent le prestigieux Ruban bleu. Il s'agit alors du naufrage le plus meurtrier de tous les temps[34]. Ce dernier mis l'affaire devant les tribunaux, et Kylsant fut condamné à 1 an de prison, perdit ses titres ( il fut titré Baron ) et sa compagnie liquidée. Une classe intermédiaire est devenue nécessaire à la fin du XIXe siècle pour abriter des touristes, ingénieurs, universitaires, etc[65]. Cette initiative d'affrètement se révèle profitable, l'Oceanic restant sur la ligne San Francisco - Hong Kong durant vingt ans, jusqu'en 1895[45]. Dessiné par. Ces deux navires servent également de terrain d'expérimentation pour la propulsion des futurs paquebots de classe Olympic[94]. Cette même année, la White Star partage pour la première fois les contrats postaux avec la Cunard Line sur l'Atlantique, permettant à ses navires de porter le titre de Royal Mail Steamer[41]. La vitesse étant trop coûteuse, il est décidé de laisser les compagnies rivales s'affronter sur ce terrain, en privilégiant dans le même temps le confort et la régularité[69]. Les rapports avec l'IMM sont de plus en plus difficiles et, en 1925, le trust annonce à nouveau vouloir se séparer de ses filiales non américaines[102]. Un nouveau paquebot, le Britannic, entre par ailleurs en service en 1930. Les 38 % de parts de l'OSNC sont réattribuées à l'Oceanic Steam Navigation Realisation Company[147]. Ceci a l'avantage de permettre une escale continentale à Cherbourg en cours de route, et donc d'embarquer plus de passagers. Le mauretania à la casse...la fin est proche. C'est dans ce contexte qu'intervient Owen Philipps, devenu en 1923 Lord Kylsant. Le nom est un compromis entre les suffixes en " ic " de la White Star et les suffices en " ia " de la Cunard. Le Queen Victoria ( 294 mètres ) mis en service en 2007... ...et son sister ship Queen Elizabeth ( 294 mètres ) mis en service en 2010, Créer un site gratuit avec e-monsite Après avoir tenté de vendre des navires pour se sauver, la compagnie doit finalement fusionner en 1934 avec sa rivale la Cunard Line pour former la Cunard-White Star Line. Elle posseda de nombreux paquebots, assez facile a reconnaitre vu que leur noms se terminent par le suffixe " ic ", et est surtout connu aujourd'hui car elle fût propriétaire du fameux RMS Titanic. Dans les faits, si les navires de la Cunard-White Star arborent les pavillons des deux compagnies, la place de la Cunard y est de plus en plus importante[153]. En 1925, cependant, la White Star a décidé de mettre fin à ce procédé et commande un paquebot à prix fixe, le Laurentic[133]. Attiré par la musique, il joue de la guitare et rapidement, choisit cette voie artistique. Pas moins de huit navires sont construits entre 1888 et 1895 afin d'assurer ce service : le Cufic, le Runic, le Nomadic (premiers du nom), le Tauric, le Bovic, le Naronic, le Cevic et le Georgic (premier du nom). Quoi que spectaculaire, l'opération aboutit sans problèmes majeurs et permet au navire de reprendre sa carrière pour de nombreuses années[80]. Afin de préserver la bonne santé financière de la compagnie, l'Asiatic et le Tropic sont aussitôt vendus[37]. La traversée inaugurale du nouveau paquebot est prévue pour mars 1871, et cinq autres sont d'ores et déjà annoncés pour les années suivantes, l'Atlantic, le Baltic et le Republic dans un premier temps, puis l'Adriatic et le Celtic, légèrement plus gros, ensuite[26]. Afin de conclure l'affaire, Morgan propose aux actionnaires de la compagnie de leur payer dix fois la valeur des bénéfices engendrés par l'entreprise en 1900, une très bonne année[82]. C'est à la même époque qu'apparaît la deuxième classe à bord de ces navires. Constituée de trois paquebots géants ( l'Olympic, le Titanic et le Gigantic ), Ismay base la notoriété de ces navires non pas sur la vitesse mais sur le luxe et la sécurité qui font la célébrité de la compagnie et seront bien sur construit dans les chantiers Harland & Wolff dirigé par quatre directeurs ( photo ci-dessous et de gauche à droite ) : Gustav Wilhelm Wolff, Walter Henry Wilson, Lord Pirrie et Edward James Harland. La concurrence est en effet de plus en plus rude, en particulier celle des nouveaux navires de l'Inman Line, le City of New York et le City of Paris. Avec les années, la taille des paquebots et leur vitesse a évolué, au fil des innovations … Le navire finit sa carrière sous les couleurs de la Red Star Line[125]. En 1923, également, la White Star et sa rivale la Cunard Line passent un accord pour alterner leurs départs durant l'hiver, afin d'utiliser moins de navires durant cette saison moins rentable, et propice aux refontes[127]. Ainsi, à partir de l'année suivante, la conférence de l'Atlantique Nord reconnaît l'apparition de nouvelles classes, la « Tourist Third Class » (troisième classe touriste) et la « classe cabine ». L'impact dans l'opinion est considérable, notamment en ce qui concerne Joseph Bruce Ismay, rescapé du naufrage, qui est particulièrement condamné par la presse de l'époque, bien que rien ne soit retenu contre lui par les commissions d'enquête examinant l'affaire[98]. Pour s'agrandir, la compagnie fusionne avec la, Très rapidement, ils lancent la construction de navires à propulsion mixte ( voile et vapeur ) pour assurer le service entre Liverpool et New-York. L'intégration de la compagnie à l'IMM Co. facilite l'augmentation de capital nécessaire à ce projet particulièrement coûteux. Tout comme Raphaëla Anderson, devenue écrivaine après avoir tourné Baise-moi. La même période voit l'arrivée des derniers navires de classe Jubilee, qui connaissent un succès immédiat sur la ligne de l'Australie[79]. L'histoire débute en 1845 à Liverpool quand John Pilkington et Henry Threllfall Wilson réalisent qu'un important marché maritime est en train de se créér entre la Grande Bretagne et l'Australie. Il en va de même en ce qui concerne le nombre de canots de sauvetage. Mort en juin 2018 à 77 ans, Richard Harrison, surnommé The Old Man et The Appraiser dans l'émission Pawn Stars, a laissé derrière lui trois fils et une femme. Finalement, la Cunard connaitra une fin de siècle avec des moments difficiles, comme l'arrivée des avions à réactions ( Boeing 707 et surtout le 747 ) qui feront baisser le nombres de passagers. Le premier est démoli en 1956 ; le second reste en service jusqu'en 1960, son départ pour la casse marquant la fin de la présence des navires de la White Star sur les mers[156]. Le SS Nomadic restauré lors de mon second voyage à Belfast. Cette contrainte est loin de déranger Morgan, l'exploitation de navires britanniques étant moins coûteuse[82]. Son succès rapide donne raison à la dernière initiative d'Ismay, et à ce changement de ligne directrice[76]. L'année suivante, afin d'améliorer les lignes de l'Australie, la White Star fusionne avec la Black Ball Line et les Eagles Lines, afin de former l'Australian and Eastern Navigation Company Limited, mais des rumeurs de malversations font échouer le projet. Tous deux se lancent ensuite dans le transport d'émigrants pour New York, en continuant d'affréter des navires. En 1856, cependant, la compagnie perd des contrats postaux, tandis que Wilson s'entête à vouloir des navires toujours plus gros pour conserver l'attention du public. À la même époque, George Bradbury, président de l'Occidental and Oriental Steamship Company, une compagnie formée en 1874 pour menacer la Pacific Mail Steamship Company, sollicite l'aide de Thomas Henry Ismay pour la mise en place de son nouveau service. En 1882 apparaît la compagnie Shaw, Savill & Albion Line, décidée à ouvrir une ligne vers la Nouvelle-Zélande, mais ne bénéficiant pas d'assez d'expérience. Ce sont en grande majorité des paquebots, auxquels s'ajoutent quelques cargos et navires mixtes, ainsi que plusieurs transbordeurs. On ne sait pas ce qu’est devenue Aline, mais cette dernière peut être fière d’avoir entendu son nom résonner en musique dans le monde entier. Vers les dernières décénies du XXè siècle, l'ajout d'une classe intermediaire est devenue indispensable pour les touristes, les ingénieurs.... Mis à part le naufrage de l'Atlantic ( le 1er Avril 1873 ) qui fût l'un des plus importante catastrophe en termes de vies humaines avec plus de 550 victimes, et la disparition inexpliqué à ce jour du SS Naronic ( lancéen 1892 )  en Mars 1893 en plein Atlantique Nord, la compagnie prosperera pendant les 25 années suivantes sous la direction de Thomas Ismay, où de nombreux autres navires furent lancés. Le fait que 25 passagers américains se soient trouvés à bord contribue, à l'instar du naufrage du Lusitania, à pousser l'opinion américaine vers l'entrée en guerre[108]. L'IMM se retrouve dans une position d'autant plus délicate que, d'autre part, l'Oceanic Steam Navigation Company qui en fait partie signe un accord avec le Board of Trade britannique stipulant qu'elle ne doit pas être considérée comme une propriété étrangère. L'IMM continue pour sa part à gérer les agences américaines de la White Star[132]. L'opération se révèle par ailleurs une erreur : la ligne de l'Australie souffre déjà, à l'époque, d'un surplus de tonnage et les espoirs de Kylsant qui déclare croire « dans le futur de l'Australie » se révèlent vains[137]. Le naufrage connaît un fort retentissement, mais la faute est rejetée sur les propriétaires, Charles Moore & Co., qui n'ont pas pris les précautions nécessaires au moment de la mise en service du navire, en ne faisant pas même d'essais en mer. Son frère ainsi que deux autres des cinq directeurs d'Ismay, Imrie & Company profitent de quitter l'entreprise à cette occasion, Ismay et Harold Sanderson continuant à en assurer la direction, rapidement rejoints par William James Pirrie, également à la tête des chantiers Harland & Wolff. Fondée en 1845, son activité initiale porte principalement sur le transport d'immigrants à destination de l'Australie à bord de clippers. Son medecin lui diagnostica un calcul biliaire et une opération fût pratiqué le 31 août suivie d'une deuxième le 4 septembre. La version du 15 octobre 2009 de cet article a été reconnue comme «, La première White Star Line : clippers et affrètements (1845 - 1867), Les débuts difficiles de l'Oceanic Steam Navigation Company (1868 - 1874), Consolidation de la ligne de l'Atlantique Nord, Diversification des activités : sur le Pacifique et l'Océan Indien, Joseph Bruce Ismay et l'International Mercantile Marine Company (1899 - 1914), Réparations de guerre et retour à un service civil, Changements de clientèle et sortie de l'IMM, Lord Kylsant, crise et disparition de la compagnie (1927 - 1960), Crise économique et difficultés financières, La Cunard-White Star et la disparition progressive de la compagnie, Des clippers aux plus grands paquebots du monde, pour le transport de passagers, Australian and Eastern Navigation Company Limited, Liverpool, Melbourne and Oriental Steam Navigation Company Limited, Occidental and Oriental Steamship Company, Oceanic Steam Navigation Realisation Company, Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste, ruées vers l'or qui touchent alors l'Australie, commissions d'enquête examinant l'affaire, sombre en emportant 1 500 personnes avec lui, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=White_Star_Line&oldid=176389789, Entreprise de transport ayant son siège au Royaume-Uni, Compagnie maritime ayant son siège au Royaume-Uni, Article contenant un appel à traduction en anglais, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Page pointant vers des dictionnaires ou encyclopédies généralistes, Portail:Transports en commun/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, John Pilkington et Henry Threlfall Wilson. L'élément déclencheur est une suggestion du chancelier de l’Échiquier, Neville Chamberlain, qui assure qu'en cas de fusion, le gouvernement aidera la nouvelle compagnie à terminer le Queen Mary. Pilkington, dubitatif, quitte alors l'entreprise[10]. Il y a vingt ans, la sitcom Premiers Baisers s'arrêtait. A ce moment là, la compagnie s'appelle " White Star Line of Boston Packets. Ce milieu des années 1920 voit les États-Unis réduire de manière drastique les quotas d'immigrants acceptés dans leurs ports par des lois de 1924. Il l'était vraiment" Rose, Dès 1850, un certains Thomas Ismay ( photo ci-dessous ) prend des parts dans la compagnie. Dans le cadre de ce commerce, la vitesse et la taille deviennent des atouts importants. Le Majestic échappe pour sa part aux combats, sa démolition ayant été amorcée quelques semaines avant le début du conflit[106]. En 1909, la White Star récupère une partie des activités de la Dominion Line, autre compagnie de l'IMM desservant le Canada. Il est également président de l'Oceanic Steam Navigation Company (plus communément nommée White Star Line) héritée de son père, Thomas Henry Ismay. Son drapeau et son nom sont alors mis en vente pour 1 000 £, et rachetés par un jeune entrepreneur naval de la ville, Thomas Henry Ismay[17]. L'activité de la compagnie est principalement axée sur les transports vers les terrains aurifères d'Australie. Elle continue à mettre en service de nouveaux paquebots, délaissant la vitesse au profit de la taille et du confort, avec la construction des Big Four et surtout des navires de la classe Olympic. Bachelor saison 3 : Avant Marco, 5 autres gentlemen célibataires ont tenté de trouver l'amour grâce au Bachelor. Edward John Smith est né 51 Well Street à Hanley, faubourg de Stoke-on-Trent, comté du Staffordshire, en Angleterre (à environ 90 km de Liverpool), le 27 Janvier 1850. Ainsi équipée, la compagnie tente de profiter des flux d'après-guerre, notamment en conduisant des émigrants entre l'Allemagne et le Canada à bord du Vedic et du Poland, par la suite remplacés par le Canopic et le Pittsburgh (autre navire temporairement transféré de l'American Line), puis par l'Arabic[125]. L'une des comédiennes principales, Julie Caignault, fête aujourd'hui ses 47 ans. La compagnie s'illustre enfin, dans les années 1880 et 1890, avec un transport de marchandises bien particulier sur la ligne transatlantique, celui de bétail vivant. Puis à partir de cette date il décide de donner une signature particulière aux futurs nouveaux navires. En 1927, la compagnie est détachée de l'IMM et reprise par Lord Kylsant dans un ensemble (la Royal Mail Steam Packet Company) qui constitue alors la première compagnie de transports de passagers du monde. Dès le départ, la ligne de Southampton est stoppée afin d'éviter des pertes, et ne restent sur la ligne de Liverpool à New York que le Baltic et l'Adriatic, rapidement rejoints par des navires prêtés par la Red Star Line : le Lapland, le Zeeland et le Vaderland[105]. Cet accident renforce la confiance des concepteurs envers leurs navires, qui les considèrent comme étant les meilleurs canot de sauvetages. Ces achats, effectués par la société White Star Line Ltd créée par Kylsant, poussent l'entreprise à la banqueroute, alors même que le groupe réclame des délais pour rembourser le trésor[136]. C'est dans cette optique qu'est alors lancée le projet de construction du Teutonic, dont la quille est posée en 1887, les plans ayant reçu l'accord de l'Amirauté[59]. L'Oceanic est le dernier navire qui fut lancé de son vivant. Une refonte s'annonce de plus nécessaire avant qu'il ne puisse reprendre son service. En 1845, deux jeunes hommes ayant débuté dans le secteur de la démolition de navires, John Pilkington et Henry Threlfall Wilson, fondent une société à Liverpool afin d'affréter des navires. Le naufrage qui fait cependant la notoriété de la compagnie survient trois ans plus tard, le 15 avril 1912, lorsque le Titanic heurte un iceberg et sombre en emportant 1 500 personnes avec lui. Grâce à eux, la compagnie ne construit plus de grand transatlantique jusqu'à l'arrivée du Teutonic en 1889, quatorze ans plus tard[42]. De ses débuts laborieux au milieu du XIXè siècle jusqu'a sa dispartion peu après la … Si les sister-ships de l'Oceanic, basée sur la vitesse, furent abandonnées,  Bruce Ismay lança la construction de quatre navire similaires ( le Celtic en 1901, le Cedric en 1903, le Baltic en 1904 et l'Adriatic en 1907 qui a été le premier navire à proposer des bains turcs et une piscine ) appelés " Big Four " ( Voir chapitre 1 - La génèse ) basé sur la taille et la vitesse. C'est ainsi qu'est mis en service en 1888 le Cufic, suivi un an plus tard par le Runic[53]. La compagnie achète ainsi deux cargos construits dans le cadre des hostilités, le War Argus et le War Priam, qui deviennent le Gallic et le Bardic[120]. Le premier janvier 1891, les deux fils de Thomas Henry Ismay, Bruce et son cadet James, favori de son père, rejoignent Ismay, Imrie and Co.. Ceci permet à leur père de se retirer de la société. Carte postale de l'Oceanic de 1930, navire qui n'a jamais été terminé. Le Queen Mary, dont la construction a repris, sera lancé en septembre 1934 ( photo ci-dessous ) et sera ainsi le premier navire de la nouvelle compagnie. Ceux-ci ont été 172 000 à emprunter les paquebots de la compagnie sur l'Atlantique Nord en 1928, ils ne sont plus que 157 930 l'année suivante[141]. Contrairement à celle de sa rivale, la Cunard Line, qui se vantait de n'avoir jamais perdu un seul passager en temps de paix, l'histoire de la White Star est marquée par plusieurs catastrophes maritimes de grande ampleur, à l'issue souvent désastreuse[178]. Joseph Bruce Ismay, né le 12 décembre 1862 et mort le 15 octobre 1937, est un homme d'affaires britannique, président pendant plusieurs années de l'International Mercantile Marine Co., un trust regroupant plusieurs compagnies maritimes financé par John Pierpont Morgan. Peu après l'ouverture du Titanic Museum de Belfast en mars 2012, il était prévu que les visiteurs puissent visiter le Nomadic. Avec son Ismay & Company que par un nouveau partenaire d'Ismay, George Hamilton Fletcher. Pour sa part, Joseph Bruce Ismay tente, vingt ans après son éviction, de participer au sauvetage de l'entreprise en proposant de créer avec l'accord du gouvernement une nouvelle compagnie qui exploiterait et ferait construire d'autres navires similaires au Britannic et au Georgic afin de se rentabiliser. Le navire est rapidement retiré du service, et refondu pour mettre l'accent sur la sécurité. D'un point de vue commercial, le naufrage du Titanic entraîne une certaine perte de confiance de la clientèle dans les grands paquebots, qui doivent être équipés de dispositifs de sauvetage supplémentaires. Certains, encore en construction lorsque la guerre a éclaté, sont envoyés au combat inachevés et ne sont terminés qu'après guerre. Le casting de l'émission Pawn Stars, les rois des enchères, a été endeuillé par la mort du « vieux » Richard Harrison, disparu le 25 juin 2018. Le Germanic se révèle si performant qu'il poursuit au XXe siècle sa carrière sous pavillon turc, jusqu'en 1950[43]. Au début des années 1920, il quitta la White Star Line pour la Shaw Savill and Albion Company Ltd. Pendant la 2 ème guerre, il servit comme Commissaire à bord du SS Mataroa. Lancement du Britannic le 26 Février 1914, Le Britannic avant d'être transformé en navire hôpital. Alors que les deux associés continuent d'acquérir des voiliers pour leurs affaires, ils décident en 1851 de profiter des ruées vers l'or qui touchent alors l'Australie. La vente est tout d'abord proposée pour le prix, dérisoire comparé à son prix d'origine, de sept millions de livres sterling, et un accord semble acquis au printemps avec le groupe britannique Furness Withy, mais l'affaire ne donne finalement pas de suite[132]. Quand les armées britannique et française commencent à subir des pertes, le Mauretania est choisi pour devenir un navire-hôpital, tout comme l ’Aquitania [14] de la Cunard et le Britannic de la White Star Line [16], et le 25 janvier 1916, il est prêt à s'occuper des blessés. Les actionnaires de la compagnie se réunissent à bord de l'Adriatic, amarré pour l'occasion sur la Mersey, pour un dîner en l'honneur des directeurs de la compagnie. Ils sont rejoints par deux autres navires de la même Leyland Line, cette fois renommés Cufic et Tropic pour respecter la nomenclature de la compagnie[173]. Ce service est au départ assuré par le Teutonic, le Majestic, l'Oceanic et l'Adriatic, ce dernier étant plus lent mais pouvant transporter bien plus de passagers[91].